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September 30, 2011

Pour comprendre le mecanisme de dette publique quand on est pas economistes

Selection de videos didactique pour expliquer le mecanisme de la dette. La dette privee, mais aussi la dette publique. La video simple a comprendre:

 


La version un peu plus ardue, mais neanmoins comprehensible

 


 Le documentaire en 1h de Paul Grignon, une reference:

 
L'Argent Dette - La révision (2010 Paul Grignon FR intégral) from Bankster on Vimeo.

De maniere generale, je recommande de voir les 9 videos disponibles de Bankster, ce n'est pas du temps de perdue

July 3, 2011

Comprendre la crise grecque

Le dimanche, j'ai toujours ce meme probleme d'avoir plus de temps que d'occupation, ou plutot c'est le jour que je prends pour compiler l'ensemble de mes To Read List.
Il faut croire qu'aujourd'hui c'est un dimanche speciale pour la Grece, courage les gars faites leurs bouffers leurs papiers a ces vautours du FMI, BCE...

Pour commencer il faut se souvenir des problemes de base du capitalisme, ce fameux "risque systemique"


Apres quoi, il est un petit documentaire d'une heure qui presente la position de la Grece

Debtocracy International Version by BitsnBytes

December 26, 2010

L'economie pour les nuls

Le premier probleme quand on n'a pas fait des etudes d'economie, mais que l'on continue inlassablement a ecouter la radio ou tout autre media, c'est de pouvoir traverser le champs semantique d'economistes commes Bernard Maris ou Dominique Seux (en matinale de France Inter, France). Je comprends tout a fait le probleme de vouloir faire de la vulgarisation economique a l'heure de la tartine de beurre dans le cafe, mais je n'arrive plus a comprendre ces vocabulaires obscures de "edi-conomistes": effet domino, dettes, note, faillites...

Petit exemple: une entreprise en faillite, dans un monde capitaliste et mondialise comme le notre, on s'en fou completement, la nature a horreur du vide, il y aura donc une nouvelle entreprise qui prendra place. Par contre quand on parle de pays en faillite, la il faut bien comprendre que ce n'est plus du tout le meme propos qui est derriere... Et dernierement, il a meme ete demontre que parler de banques en faillites, c'est un gros mot...

Je me suis donc mis en tete de comprendre tout ce vocabulaire, et pour cela rien de mieux que des videos didactiques, en voici ma selection:

  • Une serie de web-documentaire: Faillites, realise par l'agence PIW! (pour Progress In Work), qui explique pays par pays la mise en faillite de pays
    • Etude de cas en Grece
    • Vous retrouvez l'ensemble des references utilisees pour ce document sur le blog de PIW!



    • Et avant cela en Islande
    • Vous retrouvez l'ensemble des references utilisees pour ce document sur le blog de PIW!



Ces 2 videos, c'est pour comprendre l'etat actuel de la presse economique, j'attends d'ailleurs avec impatience le web-documentaire qui presentera ce qui c'est passe en Espagne et en Irlande en cette fin d'annee 2010.

Pour revenir encore plus loin, je conseil egalement le travail de Paul Grignon, artiste Canadien qui a realise le documentaire: Money as Debt, et l'initiative collective: BanksterUSA.org, et Bankster.tv

Oui, ca pique un peu les yeux et les oreilles, mais au moins, ca a le merite d'etre comprehensible par tout le monde
Ce sont donc deja 3 petits films qui permettent d'aprehender la chose economique, apres, il reste toujours le gros documentaire, un peu a la Michael Moore, mais en bien mieux:

  • Cleveland contre Wall Street, réalisé par Jean-Stephane Bron. Pour un documentaire economique, je me souviens d'une critique plus que positive au Masque & La Plume en Aout dernier
  • Inside Job, Réalisé par Charles Ferguson. La encore une critique tres positive au Masque & La Plume. Ce qu'il est interessant de note: Charles Ferguson n'est pas un mania des studios, avant d'etre producteur de films, c'etait un consultant en strategie en entreprise, autant dire que le milieu d'affaire, il s'y connait
To Be Continued...

December 21, 2010

[MaJ] Les "curators" sont deja parmi nous

C'est la semaine derniere que TechCrunch France proposait un brillant article sur les "curators", qui n'est autre que l'anglicisme d'un terme francais existant depuis longtemps: les editeurs-veilleurs.
[MaJ2] La tradution litterale de "curators" de l'anglais donne: conservateur, au sens d'un conservateur de musee.

Veilleur, car il faut savoir utiliser de puissants outils de veilles que sont: delicious (s'il survie), pearltrees, posterous, ou meme Twitter et Tumblr, et prendre scrupuleusement le temps de Bookmarker (tager) chaque article, pour se constituer ainsi son nuage de Tag personnel (ces perles dans la philosophie pearltrees). Je vois surtout ici un travail de journalisme et d'investigation, de recherche de sources et de classification de l'information, mais aussi un travail de terrain et de contact pour valider une information.

Editeur, car il convient de savoir representer ce meme contenu ainsi verifie et completer en le contextualisant, en l'enrrichissant de ces decouvertes et de son analyse. Je vois ici un travail de directeur de publication, un responsable de redaction, qui doit avoir la vision d'une proposition editorial, raconter une histoire le long des differents articles qui sont propose aux lecteurs pour developper sa ligne directive.

La ou je ne comprends pas l'article de TechCrunch, c'est que nous sommes dors et deja dans l'ere du Curating Content, et depuis longtemps, j'en ai l'impression, depuis que Google News a fait son entre en 2002, qu'il est egalement possible de lui adjoindre des outils d'alertes automatique.

Les journaux qui ce sont transformes petit a petit en plateforme de blogs, (et en aspirateurs a subventions publique), vont-ils desormais redecouvrir la force d'une ligne editoriale et la valeur d'une analyse, de l'investigation?
Vont-ils presenter une Une quotidienne riche et thematique? Ou l'analyse des information est au coeurs de la proposition editorial, et non plus la simple presentation et mise a disposition de l'information, ce que fait tres bien l'AFP.

J'observe depuis 1 an deja les travaux d'owni.fr, aucune publicite, pas de bâtonnage de dépêches, pas ou peu de preoccupation de coller a l'actualite du moment, si ce n'est de la creer, ou d'y participer. Depuis 1 an mon agregateur de flux qui ne faisait que grossir de jour en jour sous une overdose d'information ne fait que reduir pour ne garder que l'essentielle.

Au dela de ca, si je veux devenir mon propre curator, (car le defi ce place ici): apres le tous journalistes, le tous curators. Il existe dors et deja une avalanche d'application et services web qui proposent cela, des applications parfois un peu eye-candy:
  • Paper.li sur navigateur web, je ne serai d'ailleurs meme pas surpris de les voir tirer fierement leurs epingle du jeu lors de la conference Le Web '10. [MaJ3] Paper.li a effectivement gagne
  • Flipboard sur les tablettes pommes, et certainement un millions d'autres apps' assimilables...
  • Mais egalement des extentions plus proche de chacun, comme Feedly, ou meme Netvibes qui propose deja un service "payant" de curatoring content, et ce depuis bientot 2 ans
  • Et je dois dire que meme avec une utilisation un peu reflechit de Twitter, le curatoring content devient evident.
  • et pour les plus neophythe, facebook peu deja devenir une premiere etape...
Le buzz feed est sature, wikio, Reddit, ou digg n'en peuvent plus de faire remonter en sommet de pile la n-ieme video de lolcat, ou le fait divers anodin du fin fond de l'Iowa. Je demandais d'ailleurs l'autre jour pourquoi le somple communique de presse de l'Elysee etait en tete de classement?

Si les sites d'informations en ligne veullent survivre a l'ere des "curators", il vaut mieux chercher plus loin que la simple aggregation, en apportant l'analyse visuelle ou contextuelle par exemple...

Full disclosure: owni.fr est devenu ma page d'acceuil de mes navigateurs depuis bientot 1 an deja, suivi de feedly, de ma boite mail arrivant en troisieme position, wikio.fr en quatrieme onglet...


[MaJ1] References

December 13, 2010

Travailler moins, mais travailler mieux

Je n'ai jamais reellement compris cette petite phrase de 2006 du: "travailler plus pour gagner plus", peut-etre que cela vient de ma vie en ASEAN. Je dois dire que je suis meme perplexe de la porter de pareils idees?

Travailler Plus...

Voila bientot 4 ans que cette petite phrase revient regulierement dans les journeaux, et je n'arrive toujours pas a en comprendre l'objectif du "Travailler plus, ..."

  • pour travailler plus longtemps? (l'allongement de l'age du depart a la retraite...)
  • pour travailler plus dure? (prendre plus de responsabilite, plus de stress...)
  • pour travailler plus jeune, plus vieux?
Je ne vois pas exactement l'interet? Le travail n'est toujours pas un besoin humain que je sache, en tout cas pas au meme titre que le besoin de s'alimenter, le besoin d'interaction social, ou le besoin de creer.
La seul gratitude que l'on a dans son travail, c'est la satisfaction d'un travail bien fait, avec ou sans l'assentiment de sa hierarchie, quand on a fait un travail propre, on le sait, et c'est largement suffisant. En plus quand on recoit enfin l'approbation de sa hierarchie, c'est generalement avec beaucoup de delais...

Je prefere donc largement le moto: "Travailler moins, mais travailler mieux"
  • travailler a moins de taches, mais prendre le temps de bien les realiser
  • travailler a moins de projets, mais avoir le l'energie de les menner a terme
  • travailler a moins de sujets, mais les comprendres et les matriser
Gagner Plus...

Feu ma grand-mere, savoyarde de souche aimait a dire: "On a jamais vu un coffre-fort suivre un corbillard". Pouquoi vouloir gagner plus au faite?
  • gagner plus d'argent? plus de temps? plus de renommee?
Encore une foi, j'ai toujours gagner beaucoup avec un merci et un sourire, plutot qu'un billet de banque. Bien-sur un sourire, ni meme un merci ne me fera pas manger, et ne me m'achetera pas mes cigarettes, mais a preuve du contraire, un billet de banque n'est pas non plus commestible.

Admettons donc que ce fameux "travailler plus pour gagner plus" s'applique dans le sens: travailler plus longtemps, pour gagner plus d'argent
A quoi vais-je bien pouvoir depenser mon argent, sachant que j'ai encore moins de temps de vie de famille, ou de loisir personnel, puisque je travail plus longtemps? Mais au faite, qu'est-ce que je vais bien pouvoir acheter?
  • Des livres? Non, meme pas la peine, puisque plus de 300,000 livres sont disponibles gratuitement grace au projet Gutenberg, moi qui n'est toujours pas lu l'integrale de la Comedie Humaine de Flaubert...
  • De la musique? Non, meme pas la peine, puisque de plus en plus d'artistes mettent a disposition leurs musique sur Jamendo, Spotify ou deezer.
  • Des films? Oui, a la rigueur, bien que Dailymotion, Youtube, Vimeo ou Blip.tv regorgent chacun de petites pepites de films amateurs ou de webTV qui remplacent allegrement une seance de cinema.
Me voila donc bien embette, je travaille dure et longtemps, j'ai beaucoup d'argent, mais je ne vois toujours pas a quoi je vais bien pouvoir l'utiliser?

Travailler moins, mais travailler mieux

Comme je le disais plus haut, le travail n'est pas un besoin humain, ne l'a jamais ete, et ne le sera jamais. En revanche, la satisfaction d'un travail bien fait est une drogue tres addictive: il n'y a qu'a voir les realisations comme Open-Street Map, Wikipedia, ou les nombreux projets open-source, ou libres... Or, pour bien travailler, et achever une tache proprement, cela demande du temps, cela demande de la reflexion, de l'engagement...
Et je n'arrive toujours pas a m'imaginer comment un haut salaire va-t-il favoriser ma reflexion? Comment une liasse de billet sur mon compte en banque, ou dans le fond de ma poche va-t-elle solutionner techniquement mon probleme, eviter l'accident, reduire les delais de livraison... J'ai beau chercher, si je pose quelques billets devant moi et leurs demandes de me programmer une solution technique, rien ne se passe!!

Je prefere donc:
  • travailler moins mecaniquement, mais travailler mieux
  • travailler moins longtemps, mais travailler mieux
  • travailler moins ...
En plus d'une meilleur satisfaction au travail, on y retrouve la sante...

November 7, 2010

Je ne supporte plus le discour rassurant qui emanne des vieilles industries comme celle de la publication papier qui voudrai faire croire que la revolution numerique qui a touche la musique il y a de cela 10 ans, qui approche l'industrie du film et du jeu video egalement, et qui a remit en cause toute l'activite de la presse papier, et plus generalement des journalistes. Comment peut-on croire que cette meme revolution sera suffisament clemente pour ne pas approcher l'economie du livre?
Alors que d'autres prennent completement l'ampleur de fait, comme la maison Editis:




Techtoc.tv a deja pris les devant et n'hesite pas a mettre les pieds dans le plats:



Aller voir le site


A venir egalement sur le site de TechToc.tv sur le meme sujet:

October 29, 2010

Comment travaillent les acteurs du BTP en Asie ?

Comment travaillent les acteurs du BTP en Asie ?: "Senior Vice-président de Bentley Systems, Jean-Baptiste Monnier dirige le bureau Pékinois de l’éditeur et s’occupe de la zone Asie Pacifique. Méthodologie, approche BIM, travail offshore, il livre à btpinformatic.fr sa vision d’un marché gigantesque (...)"

August 29, 2010

Ne pas tout mettre dans le meme panier

Je m'interesse depuis 6 mois environs au sujet de la Neutralite d'Internet, ce n'est pas un sujet evident, et a force de documentation, je commence a comprendre les points importants. Je commence surtout a comprendre ou ce produisent les confusions:

Il ne pas confondre:
  1. Le piratage des creations artistiques (musiques, films, livres), et le declun de l'economie de l'immateriel
  2. La difficulte du modele economique du digital
  3. L'acces et la capacite a l'innovation
  4. La liberte d'Expression (qui est une liberte fondamentale au regards de la declaration des droits de l'homme)
Seuls les points 3 et 4 ont un reel liens avec la Neutralite d'Internet, les points 1 et 2 que tout le monde identifie facilement ne sont que lies a un autre phenomene que sont la preservation du "droit d'auteur 1.0" dans l'economie digital 2.0.

Je reprends les points ennonce, et je vais essayer d'apporter les explications que j'ai lu a droite et a gauche sur le sujet:

  • Ce qui a avoir avec l'economie du droit d'auteur 1.0
    • Le "piratage"
Ne peut pas disparaitre. Mais l'orientation a choisir reste avant tout la mise en avant de proposition d'offre legal attractivent et accessiblent: Hulu (USA), Netflix (USA), Lala (USA), Spotify (Europe), Deezer (France), Jamendo (Europe). Actuellement tous les developpements de ces societes (et de toute la galaxy de start-up qui va avec) sont lenttes, car peu soutenue, mais surtout car elles sont tres peu valorise.

Actuellement, l'economie de la musique en ligne est donne a plus de 70% a Apple (et sont iTunes Store)
La consequence d'un marche centralise, provoque irremediablement la chute de l'innovation, et la stagnation du mache. Meme les majors (EMI recemment) commencent a se poser la question de cette concentration...

Je ne reviendrais pas sur l'aberration de ne pas vouloir distribuer mondialement une oeuvre (serie/films/musiques), surtout quand cela est possible, et meme demande, les producteurs de contenue continues de croires que les oeuvres leurs appartiennent en propre, et ne se considerent pas comme des distributeurs, ce qu'ils devraient envisager: Aucune majors, ou studio n'ont encore envisage de monter leurs propres places de marche avec leurs propres contenues. Desormais meme si les distributeurs ont changes de noms, ils n'en reste pas moins que le modele reste toujours le meme.
    • Le modele economique de l'economie de l'immaterielle
Le model Freemium semble etre le mode de beta test actuellement: cree un service, le rendre fonctionnel et attractif, et meme indispensable pour une masse critique, puis le rendre payant par pallier.
Il n'est pas evident que ce soit un model economique fonctionnel a terme: Hulu et Spotify bagarrent toujours avec un taux de conversion tres faible (moins de 25% des utilisateurs reguliers) par rapport a leurs recherche de points d'equilibre... Hulu car ils sont bloque aux US, a cause des distributeurs qui ne veulent pas les laisser s'etendre (aussi pour des problemes de charge technique), Spotify de meme...
Mais ces modeles n'ont pus emerger que parce qu'ils ont la capacite d'innovation qui le permet, et un libre access au resau
Pour approfondire ces 2 points, je recommande la lecture de Lawrence Lessig, ou alors d'un petit ouvrage qui s'appelle Economie de la Connaissance

[Maj1] Il semble que Spotify entretient le flou autour de lui, afin de favoriser une evasion fiscal avantageuse...

  • Concernant la neutralite du net:
    • L'access et la capacite a l'innovation
Typiquement, depuis 3 semaines, j'ai 3 faits importants pour illustrer le probleme en France:
  1. Mort de Jiwa
  2. Participation d'Orange dans le capitale de Deezer (Ce n’est pas un rachat mais une par ti ci pa tion mino ri taire, les fon da teurs sont au pla card, sans pas ser par la case ‘devient riche’)
  3. Offre de deezer dans les offres d'Orange
A compte du 26/08/2010, l'innovation dans le secteur de la distribution musical en France est morte, officieusement, pouquoi, car Orange possede un service qu'il peut a volonter mettre en avant, et qu'il possede egalement les tuyaux pour rendre l'acces aux autres services concurent plus lents, comme il n'y a aucune loie pour empecher cela, et aucune institution devant laquelle faire valoir ces droits (en France), il est desormais mort-nee de vouloir innover dans le secteur de la distribution musicale en ligne: Orange controle 57% des abonnees Internet Francais

Ce qu'il est important de note c'est la position des fournisseurs d'acces qui souhaiteraient avant-tout que la neutralite du net soit moins forte, en mettant en avant des pretexte de tele-medecine, ou des systemes d'appel prioritaire.
Pour m'ettre rapidement penche sur la question, bien que je ne soit ni medecin, ni operateurs, mais cette histoire de tele-medecine tel que le service est presente ne m'interesse pas du tout! Autant je veux bien que l'on parle de tele-medecine quand il s'agit de faire de la consultation a domicile, avec une aide-soignante qui reproduits les gestes: prise de tensions, palpation... Autant la tele-medecine comme mode operatoire pour un chirurgien a Washington qui opere un patient a Oslo, la je dis non, car dans la chaine d'intermediation, il y a disparition de la responsabilite du chirurgien, une machine qui m'opere, c'est un interprete, l'interprete doit rester neutre par obligation, donc si le reseau entre la machine et le chirurgien n'est pas neutre, alors l'operation est biaise.
    • La liberte d'expression
Je ne suis pas tres doue pour presenter ce point, mais il semble simple de comprendre pouquoi un reseau doit rester neutre et non filtre pour permettre a chacun de pouvoir s'exprimer librement, sur les sujets qu'il souhaite.
Pour reelement comprendre les enjeux sur ce point, je recommende avant tout:
  • La 3ieme partie de la conference de Benjamin Bayard a Science Po: Qu'est-ce que l'internet, la video dure 1h30, c'est en format libre, et en torrent, et tres acceccible, meme aux plus neophytes
De maniere generale, je pense que prendre le temps de regarder les quelques videos qui sont propose dans le premier post de ce topic donne de bonne base pour comprendre les enjeux de la Neutralite du Net

"L'imprimerie a permis au peuple de lire, Internet va lui permettre d'écrire"

Nota:
Je ne parle pas de Neutralite d'Internet sur terminaux Mobile, car je ne connais aucun fournisseurs de telecommunications dans le monde qui propose de l'Internet sur mobile
  • c'est un probleme d'adresse IP entre autre: quand vous etes en 3G avec votre mobile, vous n'avez pas d'IP de votre mobile, mais celui de la cellule qui vous connect.
  • Sur Internet n'importe quel point du reseau est capable de diffuser n'importe quoi, ce qui n'est jamais possible sur un terminal mobile: il est impossible d'heberger un blog sur son mobile...
  • Attention, cela est possible, mais etrangement personne ne propose l'access. Il faut egalement note que l'access mobile a des problemes de capacites limite de cellules que le reseau filaire n'as pas.
[Maj2] Avec le vote de la loi LOPPSI #2 le 14 decembre 2010, par 27 deputes, puis par un vote de confirmation la semaine suivante, la liberte d'expression est desormais enterre en France, par la mise en place d'une liste Noir inconnu de tous, sans organe judiciaire. La France ce rapproche de plus en plus de la Chine...